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Depuis fort longtemps la revue tient trois par ans ses séminaires, le premier en janvier, les suivants en mai et en septembre de chaque année. Ses moments de recherche et de partage sont ouverts à toutes et tous.   Un séminaire comporte en général plusieurs temps : un retour sur le dernier numéro paru ;  un temps de lecture des textes reçus pour le numéro suivant ; un atelier consacré au numéro qui paraitra un peu plus tard encore. Un temps enfin consacré à rendre la revue plus visible, que ce soit à travers son site, par des lectures en librairie ou dans des musées.

Les séminaires de Filigranes


Enseignante, psychanalyse, porteuse de poésie et soucieuse de la vie mentale des enfants Maryvonne, notre amie de si longtemps a des années durant travaillé à la maison du Vallon à Marseille. (Un hommage lui est rendu ici : https://advitam.fr/app/memoire/maryvonne-paul-1943-2022/hommages)    

Maryvonne Paul nous a quitté à l’automne 2022




Cursives 67 Entretien avec Francis Finidori (c) (Photos Francis Finidori – Tous droits réservés) Jean Amado ? J’ai dû le rencontrer en 1950 chez René Benlisa. À l’époque, je travaillais sur les quais de Marseille et un jour, en rentrant à pied, je trouve un petit cube en maçonnerie. Il y avait là un café dont les murs étaient constellés de ganches, en ex-voto. Ces instruments de dockers étaient engagés contre quelques verres. Le patron servait les pastis avec des brocs en forme de phallus, il n’était pas peu fier de ces pièces uniques. Je vois aussi des peintures d’une dureté, d’une fermeté qui m’ont fait penser à Artaud. – C’est mon fils, dit le patron. – Je peux le rencontrer ? Après un premier contact, par téléphone, il m’invite à déjeuner du côté de Saint-Marc Jaumegarde…  Et je découvre une production encore différente, des projets de céramique… On devient […]

Jean Amado ? J’ai dû le rencontrer en 1950 chez René Benlisa – ...



« L’homme et sa création sont sans âge, sans vieillissement et sans usure. » Marcel HANOUN (cinéaste) « Contre la censure de velours » Le Monde Diplomatique Avril 1994   Juin 2005 Un texte paru dans la revue Dialogue N° Spécial Poésie     Dès juin 1984, dans le premier numéro de « Filigranes » vous posez la problématique du fragment, que vous formalisez ensuite comme « une alternative plausible et stimulante à la désaffection des genres littéraires traditionnels » Dans le numéro 2 de la revue, vous posez l’écriture comme « recherche d’un destinataire au-delà de toute adresse ». Aujourd’hui dans la jungle de l’universel discours, ces deux voies s’avèrent toujours aussi fécondes, est-ce optimisme de notre part ? » Certes, de nombreux textes de la littérature contemporaine nous invitent à une lecture par fragments, fractions, bribes et autres découpes. Or il n’y a rien là de très nouveau. Le fragment n’est pas une affaire exclusivement contemporaine. Héraclite déjà, dans […]

À propos du fragment