# Ressources


Les séminaires de Filigranes

Dates à retenir : 13 et 14 septembre 2025 (Samedi (14h00-18h00) Dimanche (9h00 + 17h00) 16 et 17 janvier 2026 (Samedi (14h00-18h00) Dimanche (9h00 + 17h00) 7 et 8 mars 2026 (Samedi (14h00-18h00) Dimanche (9h00 + 17h00) 30 et 31 mai 2026 (Samedi (14h00-18h00) Dimanche (9h00 + 17h00)   — Depuis fort longtemps, la revue tient, trois fois par an, ses séminaires : le premier en janvier, les suivants en mai et en septembre de chaque année. Moments de recherche, de création et  de partage, ils sont bien sûr ouverts à toutes et tous.  Mais qu’est-ce qu’un « séminaire  » ? Il comporte en général plusieurs temps : un retour sur le dernier numéro paru ;  un temps de lecture et de choix des textes reçus pour le numéro suivant ; un atelier consacré au numéro qui paraitra un peu plus tard encore. Sans oublier ce temps consacré à rendre la revue plus visible, que ce soit à travers son site, par des lectures en librairie ou dans des musées. Un séminaire, c’est aussi un temps de décision, de coopération et d’invention où se prennent des rendez-vous : réécrire à tel auteur, imaginer de nouvelles questions à l’écriture, inviter tel intervenant. Un séminaire est encore un temps d’amitié. On y rit, on y mange, on y boit et on s’émerveille au cœur d’une si belle nature provençale.     


Créer en éducation nouvelle

  Éditions Chronique Sociale, 
ISBN : 978-2-36717-571-3
 https://chroniquesociale.com/ Michel Neumayer, en coopération avec Marianne Fontaine (Marseille), Pascale Lassablière (Belgique), Natalie Rasson.(Belgique) Textes complémentaires : Gislaine Ariey, Teresa Assude, Rachida Brahim,Soraya Guendouz-Arab, Michèle Monte 
 Préface de Noëlle de Smet (Bruxelles)
         La matière de l’écriture 
 « Dans sa propre découverte, écrit Deleuze, Nietzsche a entrevu comme dans un rêve le moyen de fouler la terre, de l’effleurer, de danser et de ramener à la surface ce qui restait des monstres du fond et des figures du ciel. » Marie Bardet   Écrire à propos d’écriture ! La réalisation de ce livre consacré à la création en atelier ne semble guère, à première vue, s’être faite selon les recommandations que l’ouvrage lui-même propose à ses lecteurs et que, de page en page, il prétend argumenter. Point de listes de mots ici, pour commencer, nulle fresque au sol, ni production de fragments, aucun dispositif d’assemblage qui emprunterait, qui sait, à une autoroute, un immeuble, un « château des destins croisés » (Calvino). L’ouvrage épouse plutôt – éditeur et collection obligent – la forme d’un livre de pédagogie et c’est parmi les pédagogues qu’il trouvera certainement ses premiers lecteurs. Mais, qu’on ne s’y trompe pas. Si de pédagogie, il y est question, c’est comme création qu’on l’évoquera. Si la création est le propos, c’est comme passage de culture, d’œuvres, de patrimoines humains qu’on en parlera.  Entre pédagogie et création, la matière de […]