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{"id":257,"date":"2020-06-23T20:46:28","date_gmt":"2020-06-23T20:46:28","guid":{"rendered":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/?p=257"},"modified":"2021-10-30T10:34:16","modified_gmt":"2021-10-30T10:34:16","slug":"n102-emprunts-empreintes-les-quat-zarts-vol-1","status":"publish","type":"post","link":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/2020\/06\/23\/n102-emprunts-empreintes-les-quat-zarts-vol-1\/","title":{"rendered":"N\u00b0102 – Emprunts, empreintes (Vol 1 – Les quat’ z’arts) – 04\/2020"},"content":{"rendered":"

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\u00c9DITO<\/span><\/h2>\n

Emprunts, empreintes, \u00ab\u00a0aubes des images\u00a0\u00bb !<\/span><\/h3>\n

Sur le double registre de l’emprunt et de l’empreinte s’ouvre ce num\u00e9ro. La formule semble aller de soi et les termes qui la constituent, chacun pris en lui-m\u00eame, ne pas vraiment poser question. Mais que cachez-vous homophonies, si s\u00e9duisantes d’en \u00eatre presque parfaites ? Une coh\u00e9rence assur\u00e9ment : celle du maillage humain, de notre dette \u00e0 autrui, de nos attachements, je crois. Toujours pr\u00e9c\u00e9d\u00e9e d’\u0153uvres de toutes sortes, lesquelles en sont le terreau, aucune cr\u00e9ation ne na\u00eet; C’est parce qu’on a aim\u00e9 qu’on souhaite refaire, qu’on cherche la proximit\u00e9, une mani\u00e8re de retrouvaille, un h\u00e9ritage que l’on se reconnait.<\/span><\/p>\n

Alors foin des accusations. R\u00e9p\u00e9tition ? Plagiat ? Non, jamais, car oui, nous cr\u00e9ons sous influence. [Je] veut \u00eatre un autre et il l’est ! [Je] d\u00e9cide de prendre, de transformer, de poursuivre. [Je] signe et, en mon for int\u00e9rieur, [Je] sais ce que [Je] dois ! Mais copier, emprunter, ne serait-ce pas tricher ? Imiter, c’est cr\u00e9er, r\u00e9torque Picasso. Van Gogh pensait \u00e0 Millet, Degas aux grand ma\u00eetres, Giotto \u00e0 Cimabue (1) ! Tableaux, musiques, photos, carnets, leur pr\u00e9sence \u00e0 nos c\u00f4t\u00e9s nous est essentielle. Ce sont aussi citations, r\u00e9f\u00e9rences savantes, allusions qui font signe, et encore objets en \u00e9chos. Toutes et tous ouvrent des espaces. Vers d’autres sc\u00e8nes, ils nous portent. Vers le myst\u00e8re du travail cristallis\u00e9 en eux. Vers la beaut\u00e9 qui sid\u00e8re. Vers une interrogation sur notre propre regard. Ils intriguent, tant nous aimerions d’eux connaitre la face immerg\u00e9e et comprendre l’\u00e9clair d’affinit\u00e9s qui soudain nous a travers\u00e9s. De certains, il arrive m\u00eame qu’ils nous envahissent et font de nous leurs oblig\u00e9s !<\/span><\/p>\n

Alors lisons plus que jamais sous la surface des choses. Mettons-nous en qu\u00eate du rhizome. Au c\u0153ur des cristallisations, interrogeons croisements et germinations. Toujours, vous verrez, nous serons dans le lien. Et c’est encore une po\u00e9tique de l’\u00e9cart qui s’insinue entre ce que nous avons re\u00e7u et ce que nous produisons \u00e0 notre tour, page apr\u00e8s page. Un art de la ruse qui se donne \u00e0 lire. L’aveu, tant\u00f4t assum\u00e9, tant\u00f4t masqu\u00e9, d’une filiation.Impr\u00e9visible pourtant, contingent, irr\u00e9ductible \u00e0 toute logique \u00e9l\u00e9mentaire, demeure le poudroiement d’images-m\u00e9moire n\u00e9es de nos fr\u00e9quentations. Que son surgissement soit ainsi notre bonheur, bien au-del\u00e0 de ce qui, un jour, r\u00e9sonna en nous et dont nous avons voulu garder trace ! Que la cr\u00e9ation, d’\u00eatre revenue \u00e0 ses sources, nous soit l’inattendu, surpris de nous \u00eatre \u00e0 notre tour inscrits de cette mani\u00e8re singuli\u00e8re dans la succession des travaux et des jours.<\/span><\/p>\n

M.N.<\/span><\/p>\n

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(1) Christelle Belime, \u00ab\u00a0Copier est-ce cr\u00e9er ?\u00a0\u00bb – M\u00e9moire (IUFM Bourgogne) https:\/\/www2.espe.u-bourgogne.fr\/doc\/memoire\/mem2006\/06_05STA00694.pdf<\/span><\/span><\/p>\n

(2) Denis Vialou, pal\u00e9ontologue dans le sillage de Leroy Gouran, en \u00e9cho \u00e0 notre propos, \u00e9voque \u00abl’acquisition symbolique des formes dans un ordre logique et chronologique, comme si {depuis la pr\u00e9histoire} les \u00ab\u00a0formes recueillies\u00a0\u00bb pr\u00e9c\u00e9daient les formes \u00ab\u00a0invent\u00e9es\u00a0\u00bb, comme si le montage pr\u00e9c\u00e9dait l’image, comme si l’exposition pr\u00e9c\u00e9dait le tableau, comme si le global inventait le local\u00a0\u00bb. Georges Didi Huberman, L’empreinte, catalogue de l’exposition \u00e9ponyme (Centre Pompidou 1997).<\/span><\/p>\n

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Jean-Pierre DANIEL, militant d’\u00c9ducation populaire, <\/span><\/span>fondateur du cinema l’Alhambra \u00e0 Marseille (15\u00e8)<\/span><\/h2>\n

La vie de Jean-Pierre Daniel croise l’histoire de l’\u00e9ducation populaire et du cin\u00e9ma pendant les 50 derni\u00e8res ann\u00e9es. Il a v\u00e9cu toute son histoire professionnelle \u00e0 Marseille parcourant son territoire, participant \u00e0 ses luttes sociales, notamment \u00e0 travers un lieu, la salle de cin\u00e9ma de l’Alhambra qu’il a refond\u00e9e pour le compte de la ville \u00e0 Saint Henri du c\u00f4t\u00e9 de l’Estaque en 1990.<\/em><\/span>
\nJean-Pierre Daniel retrace pour Filigranes sa carri\u00e8re en mettant en perspective une direction de vie homog\u00e8ne \u00e0 partir de son choix tr\u00e8s pr\u00e9coce de l’expression cin\u00e9matographique pour prendre le pied dans la culture de son \u00e9poque et de Marseille, sa ville.<\/em><\/span><\/p>\n

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Sommaire<\/span><\/h2>\n

CHAMBRE D’\u00c9CHOS<\/span><\/h2>\n

Mich\u00e8le MONTE, Chemin<\/span>
\nMarie-Christiane RAYGOT, Int\u00e9rieur<\/span>
\nLaure-Anne FILLIAS, Une robe de dentelle blanche<\/span>
\nPaul FENOULT, Mise \u00e0 nuit<\/span>
\nCathy JURADO, Matisse de f\u00e9vrier<\/span>
\nMichel NEUMAYER, Cy<\/span>
\nPascale LASSABLIERE, Le vieux carnet<\/span>
\nBernard MAYAUDON, La nuit fait naufrage<\/span><\/p>\n

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UN MONDE S’OUVRE<\/span><\/span><\/h2>\n

Teresa ASSUDE, Du clair-obscur<\/span>
\nJean-Jacques MAREDI, Le tableau magique<\/span>
\nMarie-No\u00eblle HOPITAL, Chemin d’hiver<\/span>
\nAnne-Claude THEVAND, Au commencement \u00e9tait<\/span>
\nOleg DE\u2008ROBERTY, Myst\u00e8re des g\u00e9n\u00e9rations<\/span>
\nChantal ARAKEL, L’eau-forte<\/span>
\nClaude OLLIVE, L’eau-m\u00e8re<\/span><\/p>\n

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CURSIVES<\/span><\/p>\n

\u00ab\u00a0\u00c9ducation populaire, cin\u00e9ma et cr\u00e9ation \u00e0 Marseille\u00a0\u00bb, un entretien avec Jean-Pierre DANIEL, cin\u00e9phile, cin\u00e9aste et acteur ‘\u00c9ducation Populaire, fondateur du cin\u00e9ma Alhambra \u00e0 Marseille (15\u00e8)<\/span>
\n\u00ab\u00a0Un autre cin\u00e9ma, du c\u00f4t\u00e9 de l’Estaque\u00a0\u00bb, Arlette ANAV<\/span>E<\/span><\/p>\n

Jean-Pierre DANIEL, militant d’\u00c9ducation populaire, fondateur du cinema l’Alhambra \u00e0 Marseille (15\u00e8).
\nLa vie de Jean-Pierre Daniel croise l’histoire de l’\u00e9ducation populaire et du cin\u00e9ma pendant les 50 derni\u00e8res ann\u00e9es. Il a v\u00e9cu toute son histoire professionnelle \u00e0 Marseille parcourant son territoire, participant \u00e0 ses luttes sociales, notamment \u00e0 travers un lieu, la salle de cin\u00e9ma de l’Alhambra qu’il a refond\u00e9e pour le compte de la ville \u00e0 Saint Henri du c\u00f4t\u00e9 de l’Estaque en 1990.<\/span><\/em>
\nJean-Pierre Daniel retrace pour Filigranes sa carri\u00e8re en mettant en perspective une direction de vie homog\u00e8ne \u00e0 partir de son choix tr\u00e8s pr\u00e9coce de l’expression cin\u00e9matographique pour prendre le pied dans la culture de son \u00e9poque et de Marseille, sa ville.<\/span><\/em><\/p>\n

Lire l’entretien du Cursives<\/a><\/span><\/h2>\n

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VIE COMMUNE<\/span><\/h2>\n

Roland VASCHADE, Plagiat assur\u00e9<\/span>
\nChristian ALIX, Qui chantera d\u00e9sormais ?<\/span>
\nAnnie SKRHAK,Empreinte du vent<\/span>
\nArlette ANAVE, Peintures<\/span>
\nAnne-Marie SUIRE, Lettre \u00e0 ma ni\u00e8ce<\/span>
\nFran\u00e7oise SALAMAND-PARKER, Po\u00e8me d’amour<\/span>
\nJeannine ANZIANI, O\u00f9 il est question d’un sous-pr\u00e9fet<\/span>
\nLaurent THINES, La frustration<\/span>
\nClaude BARRERE, Du soul\u00e8vement des songes<\/span>
\nGeorges XUEREB, Il y a 6000 ans d\u00e9j\u00e0<\/span>
\nOlivier BLACHE, Au bout du quai<\/span>
\nSt\u00e9phanie CERDEIRA, Le vu se m\u00eale au lu<\/span><\/p>\n

 <\/p>\n

Les illustrations – Couverture & p.16-17 – de ce num\u00e9ro sont de Bernard MAYAUDON<\/span><\/p>\n

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                                        \u00c9DITO Emprunts, empreintes, \u00ab\u00a0aubes des images\u00a0\u00bb ! Sur le double registre de l’emprunt et de l’empreinte s’ouvre ce num\u00e9ro. La formule semble aller de soi et les termes qui la constituent, chacun pris en lui-m\u00eame, […]<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":1516,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[10,6,21],"tags":[24],"_links":{"self":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/257"}],"collection":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=257"}],"version-history":[{"count":54,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/257\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":1753,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/257\/revisions\/1753"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media\/1516"}],"wp:attachment":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=257"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=257"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=257"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}