Michel Neumayer,<\/strong>
\nen coop\u00e9ration avec
\nMarianne Fontaine (Marseille), Pascale Lassabli\u00e8re (Belgique), Natalie Rasson.(Belgique)
\n<\/span><\/p>\nTextes compl\u00e9mentaires :
\nGislaine Ariey, Teresa Assude, Rachida Brahim,Soraya Guendouz-Arab, Mich\u00e8le Monte <\/span>
\n\u2028<\/span><\/p>\nPr\u00e9face de No\u00eblle de Smet (Bruxelles)\u2028<\/span><\/p>\n <\/p>\n
<\/p>\n
<\/p>\n
<\/p>\n
La mati\u00e8re de l’\u00e9criture<\/span> <\/span><\/em><\/span><\/strong><\/p>\n\u2028<\/span><\/em><\/span>
\n\u00ab Dans sa propre d\u00e9couverte, \u00e9crit Deleuze, <\/em>Nietzsche a entrevu comme dans un r\u00eave le moyen de fouler la terre, de l’effleurer,
\nde danser et de ramener \u00e0 la surface ce qui restait des monstres du fond et des figures du ciel. \u00bb <\/em><\/span>
\nMarie Bardet <\/em><\/span><\/p>\n <\/em><\/span>
\n\u00c9crire \u00e0 propos d’\u00e9criture ! La r\u00e9alisation de ce livre consacr\u00e9 \u00e0 la cr\u00e9ation en atelier ne semble gu\u00e8re, \u00e0 premi\u00e8re vue, s’\u00eatre faite selon les recommandations que l’ouvrage lui-m\u00eame propose \u00e0 ses lecteurs et que, de page en page, il pr\u00e9tend argumenter. Point de listes de mots ici, pour commencer, nulle fresque au sol, ni production de fragments, aucun dispositif d’assemblage qui emprunterait, qui sait, \u00e0 une autoroute, un immeuble, un \u00ab ch\u00e2teau des destins crois\u00e9s \u00bb (Calvino).<\/em><\/span>
\nL’ouvrage \u00e9pouse plut\u00f4t \u2013 \u00e9diteur et collection obligent \u2013 la forme d’un livre de p\u00e9dagogie et c’est parmi les p\u00e9dagogues qu’il trouvera certainement ses premiers lecteurs. Mais, qu’on ne s’y trompe pas. Si de p\u00e9dagogie, il y est question, c’est comme cr\u00e9ation qu’on l’\u00e9voquera. Si la cr\u00e9ation est le propos, c’est comme passage de culture, d’\u0153uvres, de patrimoines humains qu’on en parlera. <\/em><\/span>
\nEntre p\u00e9dagogie et cr\u00e9ation, la mati\u00e8re de notre \u00e9criture, ce sont nos vies, leur mise en patrimoine puis leur transmission, mille et une mani\u00e8res de les contenir et les pr\u00e9server du temps, dans la compagnie des mots. D’y apposer une humaine \u00ab signature humaine \u00bb. <\/em><\/span>
\nNotre tr\u00e9sor, c’est la m\u00e9moire. C’est l’archive. Ce sont nos multiples dossiers, nos prises de notes, les productions que nous avons collect\u00e9es au fil des ann\u00e9es et des animations. Au c\u0153ur de tout cela se nichent tant d’interrogations encore que, par manque de disponibilit\u00e9 ou de force, nous n’avons pas encore su ou voulu remailler. Comment nous y atteler, avec quels outils, quels concepts ? Ce sera l’enjeu. <\/em><\/span>
\n\u00c9tonnante encore, l’affirmation de Paul Val\u00e9ry : \u00ab Le plus profond c\u2019est la peau \u00ab . L’illusion serait de croire que p\u00e9pites et cadeaux remontent des profondeurs lorsqu’on \u00e9crit. Rien de tout cela. Ce qui dessine \u00e0 la surface de la page – quelques dispositifs pour l’\u00e9criture, de brusques \u00ab objets de savoir \u00bb – s’ils n\u2019\u00e9taient rien d’autre que quelques pas de danse sur un \u00e9cran, sur une feuille blanche. \u00c0 l’unisson seulement de ce qui se trame plus bas, dans la profondeur des \u00eatres. Sans ing\u00e9rence, sans effraction. <\/em><\/span>
\nQui pourrait croire en effet que ce qui affleure soit l’exact reflet – le proc\u00e8s-verbal – de ce qui, il y a peu encore, se d\u00e9robait ? Et s’il s’agissait au contraire d’abord d’\u00e9mergence, de rumination de pens\u00e9es, de r\u00eaves en bulles, toutes en demande de lecture et de reconnaissance ? <\/em><\/span>
\nLe destin des livres est de s\u00e9journer un temps sur les tables des librairies, de se ranger sur tel rayon plut\u00f4t que tel autre, de se soumettre aux diverses classifications, d\u00e9cimales ou non. Mais vient heureusement le moment o\u00f9 enfin ils s’installent chez le lecteur. C’est l\u00e0, dans la capharna\u00fcm des biblioth\u00e8ques priv\u00e9es, qu’ils se feront peut-\u00eatre de ces nouveaux amis que l’on garde cette fois-ci pour l’\u00e9ternit\u00e9 (ou presque) : coll\u00e8gues de m\u00eame taille, voisins alphab\u00e9tiques, pi\u00e8ces d’un assemblage th\u00e9matique\u2026 ou encore, rien de tout cela, car simples fruits du hasard.<\/em><\/span>
\nPour autant, tout livre garde la m\u00e9moire \u2013 m\u00eame invisible – de celles et ceux qui l’ont accompagn\u00e9 dans le moment de sa gestation : ici quelques pages d’Aragon et de Perec, l\u00e0 la lecture de revues et \u00e9ditions po\u00e9tiques, mais encore appel d’Edouard Glissant \u00e0 penser \u00ab Tout-Monde \u00bb, les multiples interpellations des socio- et anthropologues, les philosophes et \u00e9pist\u00e9mologues comme forces de rappel, le r\u00e9cit des historiens, les ouvrages des amis porteurs d’\u00c9ducation nouvelle, les lectures de la presse, les photos prises et \u00e0 prendre encore, les bricolages plastiques, l’\u00e9coute assidue d’archives radio, les consultations d’Internet. <\/em><\/span>
\nMais la p\u00e9dagogie dans tout ce bric-\u00e0-brac ? Elle est partout, jamais injonction \u00e0 \u00ab mieux \u00bb penser, mais projet et hommage pour lequel tout est nourriture, tout peut faire sens du grand potlatch des humains. <\/em><\/span>
\n <\/em><\/span>Ce livre s’inscrit dans la suite d’autres livres, s’illumine du contre-jour de visages, de voix et d’intelligences \u00e0 pr\u00e9sent disparus. Dans le vacillement de leur m\u00e9moire maintenue, il trace sa route, cherche encore une mani\u00e8re de vivre plus juste, plus digne et plus aimante. En partage avec toi, lecteur.<\/em><\/span><\/p>\nM.N.<\/span><\/p>\n <\/p>\n
<\/p>\n
Sommaire<\/span><\/strong><\/span><\/p>\nUne utopie \u00e0 la charni\u00e8re de plusieurs mondes : croiser p\u00e9dagogie, culture et cr\u00e9ation.
\nLes quatre parties du livre :<\/p>\n
\n- \n
\n- \n
\n- \n
\n- Une logique d’\u00e9criture partag\u00e9e<\/li>\n
- Autour de quelques mobiles \u00e0 \u00e9crire<\/li>\n
- Les labos<\/li>\n<\/ul>\n<\/li>\n<\/ul>\n<\/li>\n<\/ul>\n<\/li>\n<\/ul>\n
<\/p>\n
Chapitre 1 – Le socle<\/strong> <\/span>(1)\u2028H\u00e9ritiers d’une histoire \/ Des contradictions \u00e9conomiques, sociales, culturelles, identitaires p\u00e8sent sur les pratiques de cr\u00e9ation \/ L’humain \u00e0 d\u00e9-chiffrer \/ Une marchandisation tyrannique \/ Ancien VS moderne, des fractures obsol\u00e8tes \/ Des postures anciennes qui perdurent<\/p>\n <\/p>\n
Chapitre 2 – Une logique d’\u00e9criture partag\u00e9e<\/strong><\/span><\/p>\n2.1. \u00ab Caf\u00e9 \u00bb et \u00ab Composition fruit\u00e9e \u00bb \u2028Deux ateliers qui flattent le palais dans lesquels l’entr\u00e9e en \u00e9criture se fait par les nourritures du quotidien<\/p>\n
2.2. \u00c9crire en regard des langues du monde \u2028Le \u00ab tourment de langue \u00bb, deux moments d’\u00e9criture o\u00f9 la question politique du choix du code, donc de la reconnaissance des cultures port\u00e9es par les personnes est pos\u00e9e.
\nParoles d’acteurs : \u00ab\u00a0L’histoire d’Adriana, Gaetana, Alberta, Augusta\u2026\u00a0\u00bb (PL)<\/p>\n
2.3. Trouver sa place : \u00ab Bruxelles mobilit\u00e9 \u00bb \u2028L’\u00e9criture comme transport en commun – Un atelier dans lequel la m\u00e9taphore de l’accueil est donn\u00e9e \u00e0 vivre sous la forme d’un transport en commun dans un v\u00e9hicule imaginaire.<\/p>\n
2.4. La\u00efcit\u00e9, versant \u00ab \u00e9criture \u00bb \u2028Peut-on rire de tout ? – Une intervention en milieu scolaire, o\u00f9, dans la foul\u00e9e de la loi fran\u00e7aise de 1905 sur la la\u00efcit\u00e9, la question du droit \u00e0 un espace priv\u00e9, y compris dans l’\u00c9cole, est explor\u00e9e avec des lyc\u00e9ens.
\nParoles d’acteurs : \u00ab\u00a0Seul le voyage ouvre les portes d’une maison dont on croyait d\u00e9tenir les clefs.\u00a0\u00bb(GA)<\/p>\n
2.5. Avec Weegee, \u00e9crire, c’est payant ! \u2028Pourquoi s’accoquiner avec les \u00ab mauvais genres \u00bb ? Dans cet atelier clin d’\u0153il, l’\u00e9criture se d\u00e9pouille d’une vision id\u00e9alis\u00e9e et devient une pratique mercantile et pire, stakhanoviste.
\nRebond : Le \u00ab tous capables \u00bb, clef de voute.<\/p>\n
<\/p>\n
Chapitre 3 – Pourquoi \u00e9crire ?
\nAutour de quelques mobiles \u00e0 le faire<\/span><\/strong><\/p>\n3.1. Atelier \u00ab Le dit des pierres \u00bb \u2028\u00c9crire l’intime \u2013 Une plong\u00e9e mat\u00e9riologique dans l’intime, en \u00e9cho aux travaux du chercheur Roger Caillois et du plasticien Jean Dubuffet o\u00f9 le rapport \u00e0 l’intime et la notion de \u00ab d\u00e9voilement \u00bb en \u00e9criture sont centrales.
\nParoles d’acteurs : \u00ab\u00a0En prison, tout le monde ment\u00a0\u00bb (NR)<\/p>\n
3.2.\u00ab En remontant la rue Vilin \u00bb- L’\u00e9criture, entre perte et reconstruction \u2028Un atelier dans les pas de Georges Perec \u2028Un parcours entre \u00e9criture et arts plastiques, un travail de m\u00e9moire o\u00f9 la question du lien entre \u00e9criture et \u00ab travail de m\u00e9moire \u00bb est pos\u00e9e.<\/p>\n
3.3. \u00ab\u00a0\u00c9crire la vie, franchir des fronti\u00e8res\u00a0\u00bb\u2028Un atelier dans les parages d’Annie Ernaux \u2028\u2026 ou comment nous enrichir de la le\u00e7on de vie et d’\u00e9criture de l’auteure Annie Ernaux. Il nous fera entrer dans le d\u00e9bat politique et sociologique sur les franchissements de classes sociales, les attachements familiaux, les filiations chahut\u00e9es que l’entr\u00e9e en \u00e9criture peut provoquer.
\nParoles d’acteurs : \u00ab\u00a0\u00c0 la rencontre des publics en situation d’illettrisme\u00a0\u00bb (MN)\u2028Rebond : L’engagement, encore.<\/p>\n
<\/p>\n
Chapitre 4 – Les laboratoires<\/strong><\/span><\/p>\n4.1. Le labo des codes<\/strong>
\n\u00c0 la recherche des langues, des cultures et de leur cr\u00e9olisation, ce premier labo pose la question de la traduction et du voyage interculturel. Il se place dans le prolongement de \u00ab Tourment de langue \u00bb (chap.2b) \u2028- Lettre aux amis du monde (suite) \u2028- Atelier \u00ab\u00a0Lost in translation\u00a0\u00bb
\nRebond : \u00c9criture de pratiques, autofiction et glanage \u00e0 l’\u0153uvre. \u2028Paroles d’acteurs : \u00ab\u00a0Lucidit\u00e9 et logique de rupture\u00a0\u00bb (MF)<\/p>\n4.2. \u00ab Mare nostrum \u00bb<\/strong>
\nAutour d’un territoire singulier et de sa mise en mot comme acte de r\u00e9sistance, la M\u00e9diterran\u00e9e d’hier et d’aujourd’hui est tout \u00e0 la fois un berceau de cultures et un cimeti\u00e8re marin. En pens\u00e9e avec les migrants et r\u00e9fugi\u00e9s qui, au p\u00e9ril de leurs vies, traversent mers et continents, ce labo tente par l’\u00e9criture de donner \u00e0 cet espace maritime une forme \u00e0 la hauteur des bonheurs et des drames qui le constituent aujourd’hui.
\nRebond – Sciences sociales et \u00e9criture en atelier de cr\u00e9ation\u2028Parole d’acteurs : \u00ab\u00a0Dire\/\u00e9crire la subjectivit\u00e9 au travail : que faire des savoirs minoritaires\u2009? (RB & SGA)<\/p>\n4.3. Savoirs, m\u00e9moire, histoire au c\u0153ur de la transmission.<\/strong>
\n\u00c0 propos d’un atelier d’\u00e9criture au m\u00e9morial du camp d’internement nazi de Hinzert (RFA). Laboratoire du \u00ab visible et de l’invisible \u00bb, cette proposition d’\u00e9criture a \u00e9t\u00e9 faite lors d’une intervention avec des m\u00e9diateurs dans un lieu de m\u00e9moire situ\u00e9 \u00e0 proximit\u00e9 un camp d’internement nazi de Hinzert en Allemagne
\nRebond – L’\u00e9criture prise dans la crise des sciences humaines\u2028Paroles d’acteurs : \u00ab\u00a0Un engagement dans la dur\u00e9e : publier une revue\u00a0\u00bb (MM & TA)<\/p>\n4.4. \u00ab La signature humaine \u00bb
\n<\/strong>Autour de Germaine Tillion\u2028Face aux soci\u00e9t\u00e9s humaines aux prises avec les guerres, qu’elles soient entre pays, civiles, de lib\u00e9ration ou combat contre un envahisseur, ce dernier laboratoire centr\u00e9 sur la question \u00e9thique nous conduit de Kabylie \u00e0 Ravensbr\u00fcck et finalement \u00e0 Alger et Namur. Il nous fait entrer dans la vie d’une femme d’exception.<\/p>\n <\/p>\n
Chapitre 4<\/strong><\/span><\/p>\nLe socle (fin) & conclusion<\/strong>
\n\u2022 Vivre et penser po\u00e9tiquement \/
\n\u2022 Une navigation po\u00e9tique au c\u0153ur des savoirs combinant faits de langues, faits de soci\u00e9t\u00e9, imaginaire et imagination \/
\n\u2022 Faire du \u00ab rapport \u00e0 l’autre \u00bb le fondement de la cr\u00e9ation et de la pens\u00e9e \/
\n\u2022 Cultiver le \u00ab doute \u00e9pist\u00e9mologique \u00bb \/
\n\u2022 Interroger le divorce \u00ab science VS cr\u00e9ation \u00bb et sa variante p\u00e9dagogique \u00ab d\u00e9marche de construction de savoirs VS atelier d’\u00e9criture \u00a0\u00bb \/
\n\u2022 Changer de paradigme : penser \u00ab savoirs \u00bb ou \u00ab rapport \u00e0 savoir \u00bb ? \/
\n\u2022 Accueillir la notion d’opacit\u00e9 \/
\n\u2022 Cr\u00e9ation ou culture : quelle est la question centrale ? \/
\n\u2022 Refonder \u00ab le travail \u00bb comme valeur au c\u0153ur de la culture \/
\n\u2022 Faire soci\u00e9t\u00e9 autrement, nourrir le travail psychique, penser \u00ab milieux \u00bb et \u00ab d\u00e9veloppement \u00bb \/
\n\u2022 Requalifier la notion de culture et donc promouvoir la \u00ab signature humaine \u00bb\u2028Rebond – Qu’est-ce alors que la culture ?<\/p>\n <\/p>\n
<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"
\u00c9ditions Chronique Sociale, \u2028ISBN : 978-2-36717-571-3\u2028 https:\/\/chroniquesociale.com\/ Michel Neumayer, en coop\u00e9ration avec Marianne Fontaine (Marseille), Pascale Lassabli\u00e8re (Belgique), Natalie Rasson.(Belgique) Textes compl\u00e9mentaires : Gislaine Ariey, Teresa Assude, Rachida Brahim,Soraya Guendouz-Arab, Mich\u00e8le Monte \u2028 Pr\u00e9face de No\u00eblle de Smet (Bruxelles)\u2028 La mati\u00e8re de l’\u00e9criture \u2028 \u00ab Dans sa propre d\u00e9couverte, \u00e9crit Deleuze, […]<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":0,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[32,14],"tags":[],"_links":{"self":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/1070"}],"collection":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=1070"}],"version-history":[{"count":8,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/1070\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":1690,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/1070\/revisions\/1690"}],"wp:attachment":[{"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=1070"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=1070"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"http:\/\/filigraneslarevue.fr\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=1070"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}