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LES 4 Z’ARTS 2019-2020 – FILIGRANES, revue d'écritures (Écrire en Provence) http://filigraneslarevue.fr Faire de l'écriture un bien partagé Sat, 30 Oct 2021 10:34:16 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.4 http://filigraneslarevue.fr/wp-content/uploads/2020/03/logo_fili-1.jpg LES 4 Z’ARTS 2019-2020 – FILIGRANES, revue d'écritures (Écrire en Provence) http://filigraneslarevue.fr 32 32 Serge Plagnol « La peinture, c’est une surface qui interroge la profondeur. » http://filigraneslarevue.fr/2020/11/19/serge-plagnol-la-peinture-cest-une-surface-qui-interroge-la-profondeur/ http://filigraneslarevue.fr/2020/11/19/serge-plagnol-la-peinture-cest-une-surface-qui-interroge-la-profondeur/#respond Thu, 19 Nov 2020 22:38:43 +0000 http://filigraneslarevue.fr/?p=1758  

Une rencontre avec Serge Plagnol, né en 1951, vivant à Toulon, peintre et ancien professeur à l’école des Beaux-Arts de Nîmes.

Il est venu au séminaire de mai2019 de Filigranes en apportant quelques toiles récentes.

Après quelques questions comme entrée en matière, nous avons écrit à partir de ses tableaux puis poursuivi l’échange avec lui.

Les oeuvres de Serge Plagnol ont été exposées dans différentes galeries et sont visibles sur FB et divers sites

 

Cursives 103 Serge Plagnol

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N°102 – Emprunts, empreintes (Vol 1 – Les quat’ z’arts) – 04/2020 http://filigraneslarevue.fr/2020/06/23/n102-emprunts-empreintes-les-quat-zarts-vol-1/ http://filigraneslarevue.fr/2020/06/23/n102-emprunts-empreintes-les-quat-zarts-vol-1/#respond Tue, 23 Jun 2020 20:46:28 +0000 http://filigraneslarevue.fr/?p=257

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ÉDITO

Emprunts, empreintes, « aubes des images » !

Sur le double registre de l’emprunt et de l’empreinte s’ouvre ce numéro. La formule semble aller de soi et les termes qui la constituent, chacun pris en lui-même, ne pas vraiment poser question. Mais que cachez-vous homophonies, si séduisantes d’en être presque parfaites ? Une cohérence assurément : celle du maillage humain, de notre dette à autrui, de nos attachements, je crois. Toujours précédée d’œuvres de toutes sortes, lesquelles en sont le terreau, aucune création ne naît; C’est parce qu’on a aimé qu’on souhaite refaire, qu’on cherche la proximité, une manière de retrouvaille, un héritage que l’on se reconnait.

Alors foin des accusations. Répétition ? Plagiat ? Non, jamais, car oui, nous créons sous influence. [Je] veut être un autre et il l’est ! [Je] décide de prendre, de transformer, de poursuivre. [Je] signe et, en mon for intérieur, [Je] sais ce que [Je] dois ! Mais copier, emprunter, ne serait-ce pas tricher ? Imiter, c’est créer, rétorque Picasso. Van Gogh pensait à Millet, Degas aux grand maîtres, Giotto à Cimabue (1) ! Tableaux, musiques, photos, carnets, leur présence à nos côtés nous est essentielle. Ce sont aussi citations, références savantes, allusions qui font signe, et encore objets en échos. Toutes et tous ouvrent des espaces. Vers d’autres scènes, ils nous portent. Vers le mystère du travail cristallisé en eux. Vers la beauté qui sidère. Vers une interrogation sur notre propre regard. Ils intriguent, tant nous aimerions d’eux connaitre la face immergée et comprendre l’éclair d’affinités qui soudain nous a traversés. De certains, il arrive même qu’ils nous envahissent et font de nous leurs obligés !

Alors lisons plus que jamais sous la surface des choses. Mettons-nous en quête du rhizome. Au cœur des cristallisations, interrogeons croisements et germinations. Toujours, vous verrez, nous serons dans le lien. Et c’est encore une poétique de l’écart qui s’insinue entre ce que nous avons reçu et ce que nous produisons à notre tour, page après page. Un art de la ruse qui se donne à lire. L’aveu, tantôt assumé, tantôt masqué, d’une filiation.Imprévisible pourtant, contingent, irréductible à toute logique élémentaire, demeure le poudroiement d’images-mémoire nées de nos fréquentations. Que son surgissement soit ainsi notre bonheur, bien au-delà de ce qui, un jour, résonna en nous et dont nous avons voulu garder trace ! Que la création, d’être revenue à ses sources, nous soit l’inattendu, surpris de nous être à notre tour inscrits de cette manière singulière dans la succession des travaux et des jours.

M.N.

 

(1) Christelle Belime, « Copier est-ce créer ? » – Mémoire (IUFM Bourgogne) https://www2.espe.u-bourgogne.fr/doc/memoire/mem2006/06_05STA00694.pdf

(2) Denis Vialou, paléontologue dans le sillage de Leroy Gouran, en écho à notre propos, évoque «l’acquisition symbolique des formes dans un ordre logique et chronologique, comme si {depuis la préhistoire} les « formes recueillies » précédaient les formes « inventées », comme si le montage précédait l’image, comme si l’exposition précédait le tableau, comme si le global inventait le local ». Georges Didi Huberman, L’empreinte, catalogue de l’exposition éponyme (Centre Pompidou 1997).

 

 

 

Jean-Pierre DANIEL, militant d’Éducation populaire, fondateur du cinema l’Alhambra à Marseille (15è)

La vie de Jean-Pierre Daniel croise l’histoire de l’éducation populaire et du cinéma pendant les 50 dernières années. Il a vécu toute son histoire professionnelle à Marseille parcourant son territoire, participant à ses luttes sociales, notamment à travers un lieu, la salle de cinéma de l’Alhambra qu’il a refondée pour le compte de la ville à Saint Henri du côté de l’Estaque en 1990.
Jean-Pierre Daniel retrace pour Filigranes sa carrière en mettant en perspective une direction de vie homogène à partir de son choix très précoce de l’expression cinématographique pour prendre le pied dans la culture de son époque et de Marseille, sa ville.

 

 

Sommaire

CHAMBRE D’ÉCHOS

Michèle MONTE, Chemin
Marie-Christiane RAYGOT, Intérieur
Laure-Anne FILLIAS, Une robe de dentelle blanche
Paul FENOULT, Mise à nuit
Cathy JURADO, Matisse de février
Michel NEUMAYER, Cy
Pascale LASSABLIERE, Le vieux carnet
Bernard MAYAUDON, La nuit fait naufrage

 

UN MONDE S’OUVRE

Teresa ASSUDE, Du clair-obscur
Jean-Jacques MAREDI, Le tableau magique
Marie-Noëlle HOPITAL, Chemin d’hiver
Anne-Claude THEVAND, Au commencement était
Oleg DE ROBERTY, Mystère des générations
Chantal ARAKEL, L’eau-forte
Claude OLLIVE, L’eau-mère

 

CURSIVES

« Éducation populaire, cinéma et création à Marseille », un entretien avec Jean-Pierre DANIEL, cinéphile, cinéaste et acteur ‘Éducation Populaire, fondateur du cinéma Alhambra à Marseille (15è)
« Un autre cinéma, du côté de l’Estaque », Arlette ANAVE

Jean-Pierre DANIEL, militant d’Éducation populaire, fondateur du cinema l’Alhambra à Marseille (15è).
La vie de Jean-Pierre Daniel croise l’histoire de l’éducation populaire et du cinéma pendant les 50 dernières années. Il a vécu toute son histoire professionnelle à Marseille parcourant son territoire, participant à ses luttes sociales, notamment à travers un lieu, la salle de cinéma de l’Alhambra qu’il a refondée pour le compte de la ville à Saint Henri du côté de l’Estaque en 1990.

Jean-Pierre Daniel retrace pour Filigranes sa carrière en mettant en perspective une direction de vie homogène à partir de son choix très précoce de l’expression cinématographique pour prendre le pied dans la culture de son époque et de Marseille, sa ville.

Lire l’entretien du Cursives

 

VIE COMMUNE

Roland VASCHADE, Plagiat assuré
Christian ALIX, Qui chantera désormais ?
Annie SKRHAK,Empreinte du vent
Arlette ANAVE, Peintures
Anne-Marie SUIRE, Lettre à ma nièce
Françoise SALAMAND-PARKER, Poème d’amour
Jeannine ANZIANI, Où il est question d’un sous-préfet
Laurent THINES, La frustration
Claude BARRERE, Du soulèvement des songes
Georges XUEREB, Il y a 6000 ans déjà
Olivier BLACHE, Au bout du quai
Stéphanie CERDEIRA, Le vu se mêle au lu

 

Les illustrations – Couverture & p.16-17 – de ce numéro sont de Bernard MAYAUDON

 


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N° 103 – « Sur la corde raide » (Vol 2 – Les quat’ z’arts) 09/2019 http://filigraneslarevue.fr/2020/03/23/n103-sur-la-corde-raide/ http://filigraneslarevue.fr/2020/03/23/n103-sur-la-corde-raide/#respond Mon, 23 Mar 2020 01:27:52 +0000 http://filigraneslarevue.fr/?p=229

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ÉDITO

Si en ce début de siècle nouveau, la lecture semble devenue chose courante, l’écriture en revanche reste en retrait. Celles et ceux qui s’y adonnent sont certes nombreux mais aujourd’hui encore convenons qu’écrire (d’une autre manière que lire) nous sépare des autres. « Tu vas commencer le nouveau roman d’Italo Calvino, Si par une nuit d’hiver un voyageur. Détends-toi. Concentre-toi. Écarte de toi tout autre pensée. Laisse le monde qui t’entoure s’estomper dans le vague. La porte, il vaut mieux la fermer ; de l’autre côté, la télévision est toujours allumée. Dis-le tout de suite aux autres : non je ne veux pas regarder la télévision (…) » écrivait en son temps Italo Calvino.

La séparation que l’écriture provoque est complexe à cerner. Tout à la fois encensée, portée aux nues et mal vue, l’écriture perturbe l’ordre des choses. Oui, écrivant nous franchissons des lignes. Nous nous séparons à plus d’un titre : du commun, du temps présent, des sociabilités ordinaires. Ils n’aiment pas, nos proches, que nous nous abstrayions du présent, que nous nous vouions à quelque pratique obscure appelée « écrire », qu’à l’écoute de ce qui fait monde en nous, nous nous dérobions de leur regard, fuyant pour un temps le commun.Confiée à la nuit, aux carnets intimes, aux « amis » des réseaux sociaux, aux amants, l’écriture requiert le secret. À la fréquenter, nous nous mettons en danger : vis-à-vis de nous-mêmes autant que des autres. Tout texte est miroir !

L’image qu’il nous renvoie nous fige quand nous nous voulions mouvement. Elle nous assigne à un ordre, nous confine à une place quand, nous mirant en elle, c’est au contraire le bouillonnement qui fait loi et nous envahit parfois. Son effet semble de cadre et de clôture, mais ne nous y trompons pas, c’est un leurre que l’identité racine agite sous nos yeux. Écrire est un pacte ouvert par lequel nous nous engageons. Certes, à chaque phrase, à chaque mot, nous négocions : vouloir contrôler le dire, qui le peut ? Laisser advenir le texte, mais jusqu’en quel point, dans quelles limites ? En maintenir le mystère, la part secrète, la part maudite, mais alors pourquoi écrire et publier ?

Notre pari, notre unique recours est de laisser émerger le sens. De ne pas craindre l’effervescence et jusqu’au possible malentendu mais de nous savoir en compagnie : réunis sous un même toit, nous nouons nos textes, nous nous arrimons aux autres, corde souple. Ils nous sécurisent. Ensemble, nous faisons société.

Si notre défi est de tenter de border le réel, de confier à la main le soin de le déposer sur la page sans l’enserrer, de le traduire et déplacer afin qu’il dure et peut-être nous fasse exister dans d’inattendues temporalités, vous, nos lecteurs, êtes alors nos inestimables alliés !

 

MN (octobre 2019)

 

 

SOMMAIRE

AU FIL DE L’EAU

Nicole DIGIER L’art du funambule
Michèle MONTE Voix dans l’obscur
Arlette ANAVE Indiscrétion
Marie-Christiane RAYGOT Ariette
Michel NEUMAYER Bec de l’aigle

 

NE TIENT QU’À UN FIL

Annie CHRISTAU  La note fécondée
Anne-Marie SUIRE  Prendre note
Paul FENOULT Entroublimminence
Jeannine ANZIANI Émotion brute

 

À CŒUR ET À CRI

Laure-Anne FILLIAS Still-life-to-be
Teresa ASSUDE Dissonances
Pascale LASSABLIÈRE Colère de femme
Xavier LAINÉ Tout n’est que déchirure
Chantal ARAKEL Traumatisme
Antoine DURIN Le bémol
Natalie RASSON Prise de notes

 

 

CURSIVES

« La peinture, c’est une surface qui interroge la profondeur »,
une rencontre avec Serge PLAGNOL

Serge Plagnol, né en 1951, vivant à Toulon,
peintre et ancien professeur à l’école des Beaux-Arts de Nîmes, est venu au séminaire de mai 2019 de Filigranes en apportant quelques toiles récentes.  Après quelques questions comme entrée en matière nous avons écrit à partir de ses tableaux puis poursuivi l’échange avec lui. Cursives 103 Serge PlagnolLes oeuvres de Serge Plagnol ont été exposées dans différentes galeries et sont visibles sur leurs sites ainsi que sur youtube. Il est sur FB et wikipedia.

Lire Cursives 103 Serge Plagnol

 

 ARACHNÉEN

Pierre MORENS Elle m’a cloué le bec
Cathy JURADO Hassan Echaïr
Claude BARRÈRE À nous joindre
Martine GASSEL  La symphonie des écoutants
Chantal BLANC Parole à trois voix
Marie-Noëlle HOPITAL La coupe

 

SONNANT DISSONNANT

Claude OLLIVE Du tac au tac
Jean-Jacques MAREDI Concert de musique contemporaine
MÜ Casual quasar
Anne-Claude THEVAND Symphonie en cœur majeur
Françoise SALAMAND-PARKER Tintamarre

 

 

Les illustrations – Couverture & p.18 – 37 – 48 –

de ce numéro sont de Serge PLAGNOL, peintre et ancien professeur aux Beaux-Arts de Nîmes28

 

 

 

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